Les cimetières sont vides & courts métrages | Festival Cinemabrut
Dans le cadre de Cinemabrut, Festival des cinémas parallèles En présence de Maud Girault, Joachim Soudan & Jérôme Zahno
Les cimetières sont vides de Anaïs Girard-Blanc, 2019, France, 44 min
+ Trois courts métrages
Cinemabrut, c’est un peu comme Dimitri Payet, un éternel revenant. En 2017, nous étions à Paris, pour la douzième et dernière édition de l’équipe historique. En 2019, nous revenions dans le sud, à Marseille, avec une toute nouvelle équipe. Et maintenant, en 2021, nous sommes fier·es de vous présenter une sélection de films qui s’écrivent, se tournent et se diffusent en dehors des circuits institutionnels du cinéma. Comme une parallèle, le cinéma autoproduit s’étend dans l’ombre du cinéma plus traditionnel. Des films pas ou peu vus, oubliés, perdus : des fantômes, sauvages et fragiles, modelés par l’urgence et traversés par des fulgurances.
Bérénice est désappointée. L’héroïne de Racine n’a pas survécu à la déferlante des prénoms américains des années 1990.
J****
de Maud Girault, Joachim Soudan & Jérôme Zahno, 2020, Belgique, 18 min
Bruxelles, 2048 : le j**** n’existe plus. Interdit, oublié, disparu? Un petit groupe clandestin se réunit pour tenter de le retrouver dans des images d’archives.
Hurlevent
de Frédéric Doazan, 2018, France, 6 min
Un livre oublié subit les aléas du vent. Sous les rafales, le mots s’envolent, les lignes se distordent et les créatures Alphabets s’entrechoquent avant de défier le Hurlevent.
Les cimetières sont vides
de Anaïs Girard-Blanc, 2019, France, 44 min
Une jeune femme voyage avec une photo et un prénom. Celui de son ami, passé dans un autre monde. Sur sa route, elle va croiser plusieurs messagers qui établissent un lien entre les deux mondes.