Fleurs d’équinoxe, 彼岸花, Higanbana de Yasujirō Ozu, 1958, 1h58
Yasujiro Ozu mourut le 12 décembre 1963, jour de son soixantième anniversaire. Cinéaste de studio, il laissa derrière lui une œuvre pléthorique, encensée au Japon, ignorée ailleurs. En France, c’est à la fin des années soixante-dix que l’on commença à découvrir ses films. Il devint alors de bon ton de dire, au sujet du cinéma japonais, que Kurosawa était le cinéaste de l’homme, Mizoguchi celui de la femme, Naruse celui du couple, Ozu, celui de la famille.
Un groupe d’anciens amis se retrouve et discute de l’avenir de leurs filles, désormais en âge de se marier. L’un d’eux, Wataru Hirayama, est un cadre supérieur fermement attaché à ses valeurs conservatrices, mais tenant parfois auprès de ses amis un discours progressiste sur l’amour et le mariage. Un jour, un jeune homme se présente à son bureau : il se nomme Masahiko Taniguchi et demande la main de Setsuko, sa fille aînée. La décision d’Hirayama est sans appel : il refuse que sa fille épouse l’homme qu’elle aime…
Entrée libre pour les détenteurs d’une carte RAGE ou SCANNER
PRIX LIBRE
Nous souhaitons que le cinéma demeure accessible à toutes et tous. Nous souhaitons pouvoir porter la singularité de notre modèle de diffusion non commercial.
La curiosité, et le plaisir des images ne doivent pas être un privilège.
Si nous conseillons un prix, 5 euros (celui que nous appliquions jusqu’à présent), ce sera prix libre à partir de janvier 2020, pour toutes les séances organisées et portées par l’équipe de Videodrome 2, signalées en conséquence dans nos supports de communication.
Adhésion annuelle obligatoire de 5 euros (de date à date)
La Danse du lion, 菊五郎の鏡獅子, Kikugorō no kagamijishi de Yasujirō Ozu, 1934, 24 min (sous réserve) Printemps tardif, 晩春, Banshun de Yasujirō Ozu, 1949, 1h48