Été précoce, 麦秋, Bakushū de Yasujirō Ozu, 1951, 2h04
Yasujiro Ozu mourut le 12 décembre 1963, jour de son soixantième anniversaire. Cinéaste de studio, il laissa derrière lui une œuvre pléthorique, encensée au Japon, ignorée ailleurs. En France, c’est à la fin des années soixante-dix que l’on commença à découvrir ses films. Il devint alors de bon ton de dire, au sujet du cinéma japonais, que Kurosawa était le cinéaste de l’homme, Mizoguchi celui de la femme, Naruse celui du couple, Ozu, celui de la famille.
Dans le Tokyo d’après-guerre, un couple âgé vit avec ses deux enfants, sa belle-fille et leurs petits-enfants. À presque 30 ans, Noriko, leur fille, ne souhaite toujours pas se marier et préfère vivre libre et travailler. Lorsque son patron lui propose d’épouser un jeune homme aisé, la jeune femme refuse, préférant choisir elle-même son futur mari…
Entrée libre pour les détenteurs d’une carte RAGE ou SCANNER
PRIX LIBRE
Nous souhaitons que le cinéma demeure accessible à toutes et tous. Nous souhaitons pouvoir porter la singularité de notre modèle de diffusion non commercial.
La curiosité, et le plaisir des images ne doivent pas être un privilège.
Si nous conseillons un prix, 5 euros (celui que nous appliquions jusqu’à présent), ce sera prix libre à partir de janvier 2020, pour toutes les séances organisées et portées par l’équipe de Videodrome 2, signalées en conséquence dans nos supports de communication.
Adhésion annuelle obligatoire de 5 euros (de date à date)
La Danse du lion, 菊五郎の鏡獅子, Kikugorō no kagamijishi de Yasujirō Ozu, 1934, 24 min (sous réserve) Printemps tardif, 晩春, Banshun de Yasujirō Ozu, 1949, 1h48